Les véritables fanatiques de film d'horreur ont généralement un champ d'évaluation assez large et complexe envers le genre; pour eux, une considération sévère du sous-genre auquel le film appartient est souvent cruciale. Ainsi, un film d'horreur peut être ennuyant mais être un bon splatter, un film de maison hanté peut être con comme la lune mais efficace, un slasher banal dans le fond mais original dans la forme. La sévérité du jugement d'un fan devra varier selon les constituantes particulières du sous-genre.
Fort malheureusement, on le devine, la connaissance des codes de tous ces sous-genres échappe plus souvent qu'autrement au spectateur non fanatique. Ce qui a pour effet malheureux de réduire tout le genre cinématographique à deux options: les films "épeurants" et les films "de sang".
Fort malheureusement, on le devine, la connaissance des codes de tous ces sous-genres échappe plus souvent qu'autrement au spectateur non fanatique. Ce qui a pour effet malheureux de réduire tout le genre cinématographique à deux options: les films "épeurants" et les films "de sang".
Selon nous, c'est cette polarisation qui a permis la consécration (et l'appellation) de la Torture porn. Les mécanismes de la peur ayant terriblement changés pour toute une génération de lécheux de trous de portable (de même que leurs intérêts et leur capacité de concentration), la nécessité devait devenir mère de l'invention.
Pour parler de ce sous-genre, nous recevons en studio une figure incontournable de l'horreur locale, le comédien dilettante Martin Plouffe Aka Martin Splash. Bruce Campbell du Québec, muse de la réalisatrice Izabel Grondin, Plouffe est un aficionados évident.
En effet, Plouffe est réputé pour les nombreux outrages que son alter ego a eu à supporter et ce, dans plusieurs médiums. Au théâtre on le voit enragé et infecté d'un virus à la 28 days later...Dans les productions d'Izabel Grondin, il est tour à tour violé, séquestré, transformé en monstre, torturé ou pire, son personnage est laissé insatisfait dans ses préférences sexuelles un peu... salées...Pour parler de ce sous-genre, nous recevons en studio une figure incontournable de l'horreur locale, le comédien dilettante Martin Plouffe Aka Martin Splash. Bruce Campbell du Québec, muse de la réalisatrice Izabel Grondin, Plouffe est un aficionados évident.
Bordel! Il se fait même tirer une balle dans la tête par nul autre que le Punisher dans un comic (Punisher max no.68 pour être précis. Les dessins sont de Michel Lacombe)!!!!
Pour moi, rien ne symbolise mieux la souffrance que le visage de Martin quelques minutes avant la perte du deuxième référendum dans le documentaire Point de rupture. On assiste à la mutilation d'un rêve à travers son regard. Troublant
Personne n'est mieux placé que Martin Plouffe pour parler de la Torture Porn. Il en est un peu un des dignes rejetons. En plus...disons le ouvertement...nous sommes ses fans!!!Le Splashster avec Tobias Funke (Jim)
Le Splashster Vs le Golem de Montréal (non crisse, c'est pas Réal Bossé)
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