"I have seen the future of horror and his name is Clive Barker ... - Stephen King
Quiconque s'intéressant de près ou de loin à l'horreur sous toutes ses formes a lu cette putain de citation des centaines de fois. Elle a été littéralement estampillée ad nauseam en lettres de sang cheap sur tous les livres de la planète. Quelques décennies plus tard, qu'en est-il de cette péremptoire déclaration? Peut-on dissocier Barker le cinéaste de l'auteur, de l'homosexuel, du peintre et du geek?
Quiconque s'intéressant de près ou de loin à l'horreur sous toutes ses formes a lu cette putain de citation des centaines de fois. Elle a été littéralement estampillée ad nauseam en lettres de sang cheap sur tous les livres de la planète. Quelques décennies plus tard, qu'en est-il de cette péremptoire déclaration? Peut-on dissocier Barker le cinéaste de l'auteur, de l'homosexuel, du peintre et du geek?
On parle souvent de Clive Barker au 7ème, tout particulièment ici, dans une analyse comparative avec The Devils de Ken Russell. Barker le cinéaste nous manque terriblement. Les chances de le voir derrière la caméra sont désormais presque nulles.
Il aura pu faire avec Hellraiser son drame de chambre infernal, avec Nightbreed, un
Wizard of Oz de la fertilité païenne et avec Lord of illusions, il réinvente le film noir mystique à la Angel heart avec son John Constantine bien à lui, Harry D'amour.Nightbreed lui-même mériterait une émission au complet. Un des films de genre les plus sous-estimé de son époque; les créatures qui hantent ses mondes sont tellement séduisantes.
Cette semaine, on aborde les grands thèmes barkeriens ici même.
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