Je suis un grand fan de Superbad. Je trouve le film brillant, les lignes sont savoureuses et la fine ligne entre tendresse et vulgarité est habilement dépucelée. Ceci dit, c'est bel et bien parce qu'il me semblait impossible qu'existent de jeunes ados losers attachants et résolument vulgaires de cette nature que le film me plait de la sorte.
Oh que je me suis amèrement trompé. Ils existent pour vrai. J'ai la preuve ici. Mclovin n'a rien à envier à ce petit asiatique chez qui l'hypersexualisation et la surexposition médiatique a créé de surprenants mais hilarants ravages.
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