On commence la saison en force avec un portrait de l'artiste TERAYAMA
SHŪJI, plus particulièrement ce qu'il convient d'appeler son cycle
filmique de la "mémoire pastorale". Toi, l'assoiffé de Jodorowsky,
Teshigahara, Fellini et Greenaway qui cherchait un chainon manquant avec
une cloche trempée dans le sang qui pend au bout, toi qui aime
chevaucher tout nu le simandre de la mémoire, tu attendais
peut-être/sans doute cette émission. Si ce n'est pas le cas, je dois
admettre qu'il va falloir qu'on se parle. Un cinéaste japonais à découvrir absolument.
Le Labyrinthe d'herbe (1979) |
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