Enfin, enfin, enfin : un artiste.
Loin de nous aujourd'hui la volonté de poursuivre le débat sur la validité des choix artistiques faits par le cinéma "grand-public" à notre époque. Loin de nous, ces attaques de "flame-war" ou de "greater-internet-fuckwad-theory". Loin de nous l'assignation de libellés d'artistes, de grande-âme ou de demi-dieu de l'horreur aux gens qui agissent de manière à plaire aux infimes volontés du puritanisme propagé par un parlementarisme pop-culturel.Nous refusons d’agir en sorte de continuer cette ascension vers une mode de vie où notre enthousiasme culturel devra passer par des standards rigoureux de validité canonique.
Mais il y a toujours des limites
Doug Bradley nous dit aujourd’hui, concernant le remake de Hellraiser :
« I have been approached just in this last week… I would stress that I have had no contact from, or negotiations with, anyone from Dimension Films: rather these contacts have been by way of private discussion with individuals involved with this project.
Following these discussions, and after reading the script and giving it due consideration, I have decided not to participate. The ink is barely dry on the script, and it is scheduled to be in front of the cameras in two weeks time and in the can by the middle of next month (September 2010). The miniscule shooting schedule is more than matched by the budget. “
Malgré que la réaction nous attriste, pratiquement autant que le départ de Pascal Laugier du projet, nous voyons avec cette décision une prise de position importante, un « stance » qui fait du bien en ces temps de commercialisation effrénée. Mr. Bradley, ici, fait preuve de classe, ne sautant pas à pieds joints dans un projet auquel il ne fait pas entièrement confiance (un comportement que nous avons aussi vu de la part de notre merveilleux Brian Cox).
Évidemment, nous nous désolons de la décision prise mais sommes tous réjouis par le niveau de conscience que démontre Doug Bradley, une certification de qualité en quelque sorte, qui n’a pas passé le standard Bradley-ein. Peut-être aurons-nous un tout nouveau Hellraiser, évoquant de nouvelles horreurs et des innovations de torture mais cela se fera sans la présence de Doug et, nous devinons, sans l’appui d’une horde de fans qui verrons dans cette décision un signe d’avertissement.
On ne badine pas légèrement avec Pinhead.
Source : DreadCentral
Loin de nous aujourd'hui la volonté de poursuivre le débat sur la validité des choix artistiques faits par le cinéma "grand-public" à notre époque. Loin de nous, ces attaques de "flame-war" ou de "greater-internet-fuckwad-theory". Loin de nous l'assignation de libellés d'artistes, de grande-âme ou de demi-dieu de l'horreur aux gens qui agissent de manière à plaire aux infimes volontés du puritanisme propagé par un parlementarisme pop-culturel.Nous refusons d’agir en sorte de continuer cette ascension vers une mode de vie où notre enthousiasme culturel devra passer par des standards rigoureux de validité canonique.
Mais il y a toujours des limites
Doug Bradley nous dit aujourd’hui, concernant le remake de Hellraiser :
« I have been approached just in this last week… I would stress that I have had no contact from, or negotiations with, anyone from Dimension Films: rather these contacts have been by way of private discussion with individuals involved with this project.
Following these discussions, and after reading the script and giving it due consideration, I have decided not to participate. The ink is barely dry on the script, and it is scheduled to be in front of the cameras in two weeks time and in the can by the middle of next month (September 2010). The miniscule shooting schedule is more than matched by the budget. “
Malgré que la réaction nous attriste, pratiquement autant que le départ de Pascal Laugier du projet, nous voyons avec cette décision une prise de position importante, un « stance » qui fait du bien en ces temps de commercialisation effrénée. Mr. Bradley, ici, fait preuve de classe, ne sautant pas à pieds joints dans un projet auquel il ne fait pas entièrement confiance (un comportement que nous avons aussi vu de la part de notre merveilleux Brian Cox).
Évidemment, nous nous désolons de la décision prise mais sommes tous réjouis par le niveau de conscience que démontre Doug Bradley, une certification de qualité en quelque sorte, qui n’a pas passé le standard Bradley-ein. Peut-être aurons-nous un tout nouveau Hellraiser, évoquant de nouvelles horreurs et des innovations de torture mais cela se fera sans la présence de Doug et, nous devinons, sans l’appui d’une horde de fans qui verrons dans cette décision un signe d’avertissement.
On ne badine pas légèrement avec Pinhead.
Source : DreadCentral
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