"Le cheval (Equus ferus caballus ou Equus caballus) est un grand mammifère herbivore et ongulé appartenant à l'une des sept espèces de la famille des équidés. Il a évolué au cours des dernières 45 à 55 millions d'années à partir d'un petit mammifère possédant plusieurs doigts pour devenir un grand animal à sabot unique. L'utilisation du cheval, peut-être domestiqué il y a 9 000 ans dans la péninsule arabique, se serait répandue de 3 000 à 2 000 ans av. J.-C. à toute l'Eurasie. Bien que la quasi-totalité des chevaux soient désormais domestiques, le cheval de Przewalski est considéré comme le dernier vrai cheval sauvage, et il existe de nombreux chevaux domestiques retournés à l'état sauvage." source : Wikipedia
Québequisme : Ch'val
On en a tu assez parlé du maudit cheval au cinéma? Tu sais d’avoir abordé cette veille expérience marquante durant laquelle on filmait les pattes du cheval à la course afin de déterminer s’il existait un moment durant lequel le cheval ne touchait pas au sol. Anecdote que nous avons répétée et répétée depuis notre émission sur A MAN CALLED HORSE! (à crier à voix haut, s.v.p.)
Mais qui sert comme moteur d’analyse pour plusieurs films : CHEVAL=CINÉMA.
Des classiques qui resterons à jamais imbriqués dans nos réflexes de cinéphiles comme MALLETTE=ÂME et E.T.=CACA.
(i got a feeling, that tonight's gonna be a good night...that tonight's gonna be a good good night, i got a feeling)
Une fois de plus sachez que je vais sortir cette bête de l’établi et je vais la fouetter comme MEL GIBSON(=TORTURE) car il me semble qu’il y a encore de quoi d’intéressant à faire avec ce futur pot de colle lorsque qu’on regarde les deux grands films de cheval de la dernière année. Et oui, l’un est passé étonnamment inaperçu et l’autre a garni une attention inattendue.
Et oui je parle sans doute de WARHORSE et CHEVAL DE TURIN!
Car nous avons ici non pas seulement une variation sur le même thème (Hein, y fallait le voir celui-là!) mais aussi une variation sur une perspective du cinéma tous deux établis par des hommes qui n’en sont pas à leur premier tour de piste. Cette interprétation peut sembler galopante mais nous sommes confiants lorsque nous assumons le fait que Le Cheval de Turin et Le Cheval de Guerre ne sont pas uniquement des films qui abordent la magnifique créature équestre dans toute sa splendeur cinématographique mais qui tentent aussi de communiquer une perspective sur le cinéma lui-même. Ici, deux perspectives de maîtres celle de Señor Spielberg et celle du très honorable Tarr, inclusivement.
*Teuf* Un bref résumé!
WARHORSE raconte l’histoire d’un cheval qui parcourra le monde d’aventure en aventure et de famille en famille touchant au plus profond de leur être tout les gens qu’il croisera dans sa quête homérique afin de retourner à son premier maître un jeune homme plein d’affection et de vitalité nommé … (on s’en fout)
LE CHEVAL DE TURIN parle d’un cheval qui à une époque à servi à causer une profonde réalisation chez un philosophe et qui depuis se laisser tranquillement mourir dans une « shed » pendant qu’un père et sa fille manque clairement de stimulation dans leur maison de pierre.
Je pense que j’en ai dit assez.
Imaginez-vous donc maintenant (et je ne crois pas la tâche bien difficile) que les deux films Spielberg et Tarr on décidé d’illustrer leur perspective du cinéma par le biais d’un cheval. Les situations qui surviennent dans la vie du dit cheval peut donc être transposé afin d’expliquer leur profonde conviction sur la situation du cinéma en ce moment. Les deux hommes, férus de symbolisme, auraient dont exécuté leur film somme, se servant d’un animal de locomotion afin de véhiculer leur impression sur la situation présente du 7eim art.
Spielberg, dans le premier cas, voit le cinéma comme utile et viril, comme une force que les gens tentent de s’accaparer que ce soit pour des raisons affectives ou pour des raisons de prestige. Le cinéma de Spielberg peut exister entre les tranchés et dans les scènes le plus bucoliques imaginables. Le cheval survit et progresse, et n’est jamais brisé par la présence d’un humain. En plus, il n’a pas de prix et s’épanouit seulement lorsque traité avec amour.
Tarr, lui, voit le cinéma comme une bête qui fût d’antan une grande source d’inspiration. Un vue sublime qui pouvait fondamentalement altérer l’être humain et qui mérite d’être vénéré comme une créature divine malgré qu’il soit maintenant plus souvent utiliser pour traîner des charrettes (CHARRETTE=IDÉOLOGIES) désuètes et en décrépitude. Comme nous l’avons dit plus tôt, le cheval, ayant accompli sa tache principale se laisse maintenant mourir (c’est peut-être donc ça la raison de l’annonce de Tarr que Cheval de Turin sera son dernier film).
(Heyoooo)
Mais comme le dicton le dit si bien : A cheval drogué, regarde pas Madrid, reste à voir si cette interprétation tient le coup ou si j’ai simplement fumé trop de foin.
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