
samedi 3 avril 2010
Geek Chronique no.36: Réac' attaque




Geek Chronique no.35: L'énigme Steven Glanzberg
jeudi 1 avril 2010
Pochette poche 7: Tous les chemins...

Geek chronique 34: Live long and prosper, through brightest day and blackest night
Nous sommes à quelques mois d'un film de Green Lantern. Est-ce que le 7ème est content? Mais oui, que diable! Par contre -et ce qui suit, le 7ème l'a toujours crié haut et fort- un film, ce n'est pas le bon médium pour Green Lantern.
Ce qu'il faut pour ce personnage et sa mythologie en constante expansion, c'est une série télé. C'est une évidence. Il est fait pour ça.
Un show de Green Lantern comblerait un immense pan du monde télévisuel en combinant deux trucs, le série policière et ... Star Trek (on parle du show original)! Le vide télévisuel immense laissé par Star trek serait enfin comblé.

Toutes les bases sont là pour faire un show de télé coloré et humaniste, avec des races extraterrestres étranges qui ne s'entendent pas, des entités cosmiques, des despotes démesurés. Quelques comedy reliefs, des partenaires patibulaires, des vieux amis devenus ennemis. Bref, un vrai show de police dans l'espace qui se passerait à moitié sur terre, où Hal Jordan devient un Kirk en puissance (on ne pressentait Chris Pine dans le rôle de Hal Jordan initialement pour rien!), space-cowboy baveux et séducteur. Sinestro devient un Spock de la première époque qui va terriblement mal finir. Une planète différente à explorer par semaine, des épisodes de recrutement, des caméos de vilains de seconde zone. C'est tellement évident que ça fait mal.
Green Lantern fonctionne mieux quand il est proche de Star Trek que de Star Wars. C'est l'intimité du Green Lantern Corps, beaucoup plus proche de celle d'un équipage de Trek, qui fait à mon avis le charme de sa mythologie. Non pas que la démesure du Space-opera avec ses scènes de combats lumineux à la Star wars ne se prête pas bien au personnage, mais ce n'est pas ce qui le définit.
Êtes vous familiers avec le film The Last Starfighter ?

Si vous ne connaissez pas et que vous êtes un fan de GL, c'est une découverte qui s'impose. Marquez mes mots: quand le film de GL sortira, il se trouvera plus d'un geek pour le comparer à ce petit bijoux. C'est un geek wet dream comme il ne s'en fait plus: un jeune homme menant une vie simple avec un grand talent pour les jeux vidéos est appelé à devenir le sauveur de la galaxie dans une grande confrérie inter galactique! COME ON! Allez le regarder! Le mood d'un film de GL, c'est comme ça qu'il devrait être de A à Z!Mais bref, en attendant le film, les braves gens qui travaillent sur le comic de GL n'en finissent plus de faire jouir les geeks avec des références bien senties.
Quand ce ne sont pas des Predators et des Triffids dans les rangs des Yellow Lanterns...


...lets go Tholian Web on their asses...
Geek Factoids: Les Tholians sont, avec les Klingons et le Romulans, les trois plus importants adversaires de l'histoire de Star Trek. La Fédération est en guerre froide avec eux pour des questions de ponctualité (la culture des Tholians est basée sur l'idée du temps comme une toile). Pendant plusieurs décennies, leur apparence est demeuré un mystère et s'est limitée à cette image sur écran:
Depuis, Star trek:Enterprise a élucidé le mystère de leur apparence dans le meilleur épisode de la série, en respectant le manque de budget de l'émission originale et en spéculant, ce qui a donné ceci:
Le Tholian web en question, c'est une toile d'énergie sphérique tissée par les vaisseaux des Tholians qui se referme sur sa proie pour les écraser de la sorte...
...technique maintenant intégrée par Guy Gardner en coordonnant les lanterns de toutes les couleurs et en squeezant un maximum de black lanterns d'une seule shot magistrale:

God. It's such a great time too be a geek.
Il a bien fallu no.2: AEON FLUX épisode 2-Thanatophobia

Aussi agile soit-elle, et elle l'est hautement, elle se fait bousiller une vertèbre. Son camarade passe sans problème.

Bien qu'elle soit passée à l'est, la dame sera désormais l'esclave personnelle du kinky despote Trevor Goodchild; elle devra se plier (littéralement) à ça pour qu'il lui fournisse sur une base régulière une petite vertèbre jetable pleine de jus anesthésique bleu poudre..
...qu'elle doit s'enfiler elle-même dans une petite cavité laissée dans son dos en permanence, non sans une certaine délectation érotique.
Sans ce vertèbre jetable, elle devient toute molle et anormalement souple.
Déjà là, ça me la gonfle un peu et je la soupèse. Donc, quand elle rencontre Trevor Goodchild et que sous prétexte de la soigner, il se met à lui jouer dans la cavité avec ses doigts et des outils chirurgicaux...
et qu'il lui donne des orgasmes nerveux et gutturaux à travers la colonne, tout ça pour rendre jalouse son adversaire/fantasme Aeon flux qui zieute la scène avec envie (en haut de la flêche rouge)...
...pendant qu'elle torture le chum-gimp (qui a pour nom Onan...oui madame, je n'invente rien)de l'autre pour se venger...
...j'ai su que mon gonflement pouvait être mené à terme assez rapidement. Tout au plus deux minutes.
Ma satisfaction se conjugue avec la scène finale qui m'a fait tout de suite sourire: Il faut savoir la prendre quand ça passe.
La scène de la semaine: l'exorcisme de Jacob Singer
1-Le scénario devait aller dans une autre direction
2-La scène, pour l'époque, était insoutenable. Je vous laisse en juger par vous-même...