


On parle souvent de Clive Barker au 7ème, tout particulièment ici, dans une analyse comparative avec The Devils de Ken Russell. Barker le cinéaste nous manque terriblement. Les chances de le voir derrière la caméra sont désormais presque nulles.

Il aura pu faire avec Hellraiser son drame de chambre infernal, avec Nightbreed, un
Wizard of Oz de la fertilité païenne et avec Lord of illusions, il réinvente le film noir mystique à la Angel heart avec son John Constantine bien à lui, Harry D'amour.Nightbreed lui-même mériterait une émission au complet. Un des films de genre les plus sous-estimé de son époque; les créatures qui hantent ses mondes sont tellement séduisantes.



Cette semaine, on aborde les grands thèmes barkeriens ici même.
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